On a largement oublié au cours du XXème et en ce début du XXIème siècle tous les fléaux des anciens temps comme la peste et la variole par exemple. Le pourquoi se résume essentiellement en deux points qui sont la découverte des antibiotiques et celle de la vaccination. Si la COVID a commencé à ébranler cette belle sûreté, il faut avoir à l'esprit que cet apparent confort ne tient qu'à un fil. Il y a quelques années, la peste a refait son apparition à Madagascar et a pu être contenue, mais quand on voit la quantité de rats qu’on laisse pulluler à Paris, nous ne sommes plus à l'abri d'un retour de cette maladie chez nous, n'en déplaise aux écolos-bobos… En revanche la variole humaine est théoriquement éradiquée, ce qui fait que les jeunes populations ne sont pas vaccinées, sauf que… Le virus variolique est l'un des stocks d'armes bactériologiques "interdites" et d'autre part la variole du singe fait son retour parmi les populations humaines avec les mêmes risques que le SARS-CoV-2, c'est-à-dire une meilleure adaptation à l'humain et donc un possible retour de pandémie significatif… Ceci est d'autant plus dommage que le vaccin contre la variole humaine confère 85% d'immunisation contre celle du singe : on aurait été bien avisé de continuer à vacciner les populations !
Affaire à suivre de près !